histoirs

Ce soir la je me trouvai dans cette rue ou je cherchai une
copine. Les faites de noël approchait a grand pas et je me sautais seul et cette superbe fille ferai l’affaire, me devais
de la courtiser pour avoir ses faveurs
si vous voyer ce que je veux dira me la faire quoi et vu sa beauté (top modèle)
mes chances était mince et le premier salues que je lui fit ne sabla pas la
détacher de son  portable ce ne fut pas
facile mais je parvient a lui arracher un oui , et la tous s’enchaîna , je
l’invita a boire un verre et la de fille en aiguille en lui arrachant un
sourire . Mais les choses ne se passa pas comme je le voulais, car la belle
avait un copain et plutôt jaloux qui lui fit une scène de jalousie et manqua de
me casser ce qui me servais de bouche, ce qui mis un terme a leur
relations et la elle se retourne vers
moi et m’embrassa a plaine bouche en me remercia. Le reste de la soirée ont la
passa à rire en s’avouent notre amour. Je rêve, je vais me réveiller et toutes
mes soirées rater à vouloir l’impossible, donner moi une clac, pincer moi. Ce fut le seul moment de doute, car son
sourire me ramena à la réalité le vrai. Son histoire était simple tombé
amoureuse du mauvais homme, qui de plus possessif et la rupture. Ont passa tous
le reste de la nuit en boite à se faire des mamours et but final elle me donna
ce qu’elle avait de plus chère l’innocence de ce corps magnifique qui n’était
confier a jamais, ce qui fit naitre en moi une peur que l’ont connait tous
celle de se faire maitre la corde au cou. Ce si était une autre histoire. Je me
blottie dans ces bras et savourait l’instant. Le coup de foudre vous y croyez
moi si ? Et c’est maintenant. Le matin qui suivie, je me réveil sur ce lit
qui sentait bon l’amour et ma premier vu fut celle de ma bien aimer, ce doux
visage endormie qui me laissa un longue moment contemplatif , avent de la
touche de la pointe de mes droits doux caresse matinale , qui lui fit ouvrir
les yeux d’un bleu sublime que fessai ressortir les première lueurs du jour ,
qui donna suite a un sourie rayonnent communicatif  et ces
premiers mots fut bonjour mon cœur et m’embrassa . Je ne pouvais pas lui dire
que j’avais inventé un système arme hyper complique volent et se déplacent dans
l’espace, même pour moi c’était du domaine de la science fiction et donc
impossible, de plus ma petite sortie était pour fêté ça. Je lui racontais donc
toute l’histoire et insistait bien sur le faite que les conditions favorable
était pour ce soir et la elle me regarda et éclata en un fous rire  qui dura une bonne dizaine de minutes
indépendante de sa volonté présidât elle en me fessant un énorme câlin.  Le plus étonnent c’est que Maria de son prénom
m’avait crue sur parole et me posait des questions et s’intéressait a ce que je
pouvais lui dire tous en dégustant notre petit déjeunée servie en chambre. Je
ne pouvais le croire et c’était si vrais ces elle, une entente parfaite, Maria
est la femme de ma vie mon âme sœur comme elle se plaisait à le dire. La
journée ont la passa a mieux se connaitre dans tous points possible et
imaginable plus particulièrement, intellectuellement et physiquement si vous
voyer ce que je veux dire, elle infatigable et avide de connaissances. Le présent,
ont se trouvait dans mon entrepôt pourrie fait de tôles rouliers vu les
financements dût a ma présidente invention presque rater  de moteur de yole de pèche électrique économique.
Ma création est de forme triangulaire de quinze mètre de haut et vingt de longue.  Le décollage ne se fit pas sens  peur et le seul fait qu’elle me tienne la main
montre sa confiance. L’espace ce vaste étendu d’étoiles ou se mélange lumières
et noir ou je peux enfin montrer mon
génie et lui expliquer plein de choses,
le elle me regarde en disent, tu Sai que tu es le plus beau en plus d’être intelligent, quant  Maria
parle c’est simple, profond tous en allant
droit au cœur. Je la voulais autant qu’elle de moi et vu qu’ont ne
l’avait pas fait depuis longtemps, ont ne se fit pas prier, l’enchevêtrement de
nos corps, la tension sexuel qui se passa entre mous, ne pouvais être décrite,
les vêtements disparus ne lésait que notre peau comme seule couverture et cela
me suffisait amplement, je fis une nouvel découverte, exister sans elle me devenait
maintenant insupportable, la seul façon d’y remédier fut de faire ma demande,
veux tu devenir ma femme ?  . De
certitude je n’en avais pas,   Maria me posa cette question qui me surpris
sur le coup, tu es sur ?oui, répondit je, le cœur battant et pendu a ses
lèvres attendent sa réponse, un long moment s’écroula, oui !je promets de
te rendre heureux toute notre vie. Mais la plus rien je réalisai et analysait
sa réponse comme figer, c’est elle qui fit le premier pas, en me prenant dans
ses bras. Je ne connaissais pas sa famille et il me fallait être présenté.
C’est deux jours passé ensemble arrivai a sa fin et ils mous fallait entrer
dans la réalité, je devais retrouver mon travaille de pécheur et elle de
vendeuse de vêtements. Il était midi quant elle m’appela au téléphone pour me
dire qu’elle m’aime et tous plein de choses sur sa journée, en l’écoutant je me
disais que j’aimerai ca, ce besoin de nous parler et d’écouter, Maria me
manque, de la toucher et c’est au moment ou elle raccrocha que ce fut le plus
dure .Il me fallait avoir de l’argent et
mon nouveau moyen de transport me le permettrai et les voles commença ainsi,
les gents se bousculai , j’était devenu
milliardaire et c’est que les problèmes vin .Je devais faire une station spatial pour recouvrir mes dettes au  impôts ,ce que je fit et un mois plus tard les
clientes affluais par millier  et je devais embaucher car elle fessai quatre-vingt
kilomètres de long et cinquante de large . Je devenais l’homme le plus  riche au monde. Et c’est ainsi que je devrais
le plus intelligent