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LeBazar972
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9 février 2011

HISTOIR



Je devais changer de
vie et les cours de pilotage et mes connaicanses en mécanique et électroniques
,me permis de m’engager sur un porte avion américain en temps qu’inventeur et
civile avec le projet de cette nouvel arme .Le premier appontage sur ce mastodonte
de fer et les regards stupéfait de l’équipage conforta mon exploit .Je me devais
de ne pas me relâcher et de faire mes preuves ,pour me prouver être le mayeur .
Je devais suivre et expérimenter mon engin en temps qu’observateur, mais les
choses ne se passa pas comme prévu et je du faire face a six avions aux pilotes
tenace a qui, moi dus les affronter, en déployen toute les possibilités de mon
robot avion en les descendants tous les un après les autres. Le projet le mien
était approuver et je fessai ,part
entière avec l’équipage .Le plus économique ,le plus rapide et résistent .Le
robot avion était devenu un secret d’état car il n’y avais rien a jeter ,je
participai donc a des missions de plus en plus dangereuses ,qui m’apportai du
suces .Le vent en poupe je me devait de
construire un porte avions qui était a la masure de mes ambitions et je devait
le faire seule .Il se devait être électrique mais pas nucléaire,
révolutionnaire et de sur croix rapide mac six. Les deux mois qui suivi acheva
cette eouvre gigantesque, trois fois
plus grand qu’un de ses semblables.  Je
me surpris avoir dans le futur ce qui était impossible. Mon génie me poussa à
améliorer les avions, tout en devenant le capitaine de ce nouveau navire,
j’avais la responsabilité de tout un équipage. Les diplômes, certes je les
avais, mais toute cette responsabilité me faisait étrangement peur dans la
mesure, où s’était la première fois. Les choses se déroula très vite, la
première mission est mon premier commandement. Je bénéficiai de toutes les
attentions qu’un capitaine pouvait avoir et c’est la que je la vie. Je ne
devait pas perdre de vue, que j’étais son supérieur et que j’avais tout les
doigt sur elle. La folle passion qui grandissait en moi, me pousse à la
courtiser, je ne pouvais me résoudre à laisser passer cette idée. Je ne sais
comment mais elle, ressortait la même chose pour moi. Les seule vacances que
j’avais étaient avec elle.



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