NOUVEL
STAGE EN MECANIQUE AUTO
Le stage, le soleil brille de mille feux et enfin je réalise ce rêve de faire de la mécanique , les coures commençaient et ma premier journée se déroulai bien , les filles plus belle les uns comme les autres , sauf une qui n’arrêtait pas de me regarder et cela me réchauffai le cœur , je décidai donc de lui arabiser la parole et d’un simple bonjour , une conversation débuta et le plus que je ne puise faire elle le comblai et finissait chacun de mes phrases , le coup de foudre nom , mais une profonde attirance visiblement réciproque ,qui nous empêchaient de nous laisser , je devais la revoir et lorsque ses copines la rappela je lui tien la main et dit d’une voix douce .
- Ont pourraient se revoir ?
- OUI.
Il a fallu que quelques minutes et tout le reste ne comptait pas. Le lendemain au petit matin elle était la m’attendent à l entre du stage la question ne se posai pas, c’est le bon, son petit sourire et sa jolie tenue sexy, ce rouge à lèvre qui ne tarda pas à me faire craquer. Elle l’avait remarqué et me remercia. Je ne pouvais que la rassurer sur mes sentiments et flatter son ego sur ses qualités, plus qu’ordinaire. Les courts moments de poses prétexte à nous voir et je ne me métrisai plus, la touche soulageait cet envie et quelque foie elle me retenait la main. Chaque jours ce passaient ainsi et nos discutions devenaient de plus en plus profonds. Elle ne pouvait pas vivre loin sens moi et me proposa d’habiter chez elle ce que je m’empressai de faire le soir même, ses parents n’étaient pas au courent. Un simple ami colocataire et tous ce passai bien entre ses parents et moi mais, ce qu’ils ne savaient pas c’est que tous les soirs elle venait me retrouver et que nous faisions l’amour. Les notes de stage avaient augmenté et cela expliquai ses petites sorties nocturnes, on pouvait dire des révisions du soir. Elle a influence ma vie et moi la sienne, la parfaite harmonie de nos deux corps et expires nous posaient a dépasser tous les obstacles. Le jour où elle me proposa de passer le permis de conduire parue comme une évidence et deux semaines plus tard ont l’avaient décrocher et alors il était temps de se trouver une voiture , pas trop cher ,ce qui fut vite régler tenonner que justement ma formation justement sur la mécanique et mes connaissances bien avancer c’était un jeux d’enfant de passer d’une épave a un véhicule roulent . La réparation cela je connaissais et ont eu l’idée de monter un garage avec l’aide de mon formateur. La petite maison qui se trouvai dans notre projet était un plus et l’argent ne tardait pas venir, la maison répare par mos soins car au paravent j’avais suivi une autre formation cette fois en menuisier. Les vacances approchaient et nous étions déjà installer dans notre nouvel maison avec l’accord des parents toujours pas dans la confidence. Les nuits se déroulaient plus chaudes chaque jours, du a notre bonne condition financier on décidât de franchir le pas et de passer quelque jours à l’étranger en Holt inclusive et de se la Peter. L’ile ou ont se trouvai était paradisiaque, poussai a l’amour et a autre chose ce tarda pas à nous chatouiller l’oreille et un soir ou ont se sentaient particulièrement bien, on en vient tous naturellement à parler de mariage. Le lendemain après quelques questions on avait franchi le pas et madame LUC Florette et moi étions unis pour le pire et le meilleur par le prêtre du coin tous papiers signer auprès de la mairie le rêve quoi. Je me sentais heureux et comptait bien le la lui transmettre, le soir de la nuit de noces. Le charme de ses courbures je ne l’avait pas dit ma femme est un véritable beauté et pourrait même être une top model , il me fallait la croqué lentement et langoureusement . Le jour suivent au réveil on se regardait et là elle me décrocha un jolie sourire le plus beau de toute ma premier vie nouveau de jeune marie.
– je t’aime et t’aimerai toujours toute ma vie.
Ces mots resteront graver dans ma mémoire et je ne pus que lui donner un baiser langoureux et dire l’essentiel.
–Je t’aime nom amour.
La lune de miel s’achevai et de regréaient se finissait car je voulais que elle dure plus longtemps, FLORETTE S’était amélioré en une bombe au lit et tous notre temps passé en ce lieu, me permit de mieux la connaitre et elle aussi me l’avoua ont avaient appris beaucoup l’un de l’autre. Le retour à la maison les choses sérieuses commençaient ma petite société devrai être plus productive et pour cela l’invention de nouvelles machines pour faciliter la rapidité du repérage moins de deux heures et un nombre plus élevé de voiture donc de l’argent en plus et du temps a consacré à mon épouse, elle le mérita. Il a fallu d’une semaine et la machine Fu mis en route, les clients affluaient, tenonnée que ma femme travail avec moi et recevait un salaire ses parents ainsi que les miens ne se posai pas de question ce qui nous arrangeaient. Je me sentais en vaine et décida de réalise un rêve construire une machine transformable en camion, avion de chasse, tracteur, tunnelier et bateau. Les maquettes, les plans je le fessai sur mes temps de libre. Elle me rendait fou et c’est pour cela que je lui fi l’amour sur la table de l’atelier de mécanique de notre maison pour fêter ma réussite et en remettre une couche sur nos relation intimes, ce jour-là ses cris de plaisir ce faisaient entendre dans tous les pièces et cela n’était pas pour me déplaire, quand un bruit se fi entendre ses parents étaient là, surprise ? Et si elle n’avait pas trouve une excuse je me serai pris un pain dans la bouche par son père, les reproches fusaient, puis vin les menaces sans mot de ma part. Mes beau parents souleva la question de ma famille, ils avaient décidé de les mettre au courent ,elle ne s’était pas habiller juste nos vêtements qui couvrait ses parties intimes ainsi que les miens couver par sa petite main ,son soupir me rappelai qu'elle se trouvai cacher derrière moi et en prenait au temps . Les jours écoulés finissait les essais concluent de la nouvelle machine, avec l’aide de ma femme, car il fallait lui changer les idées. Le jour suivent nos deux familles se réunissaient pour un diner dans un grand restaurent de la capital et le voile se soulevai en fin sur toute l’histoire. Florette et moi ont s’étaient éclipsé pour une petite pause câlin et décompresser par la même occasion, mais de fil en aiguilles et l’excitation du moment fi que dans les toilettes ont passa a l’acte et je du maitre la main sur sa bouche pour arrêter un temps soit peux ses gémissements de plaisirs, cela dura une heure.